dreamland
A toi mon amour...
Depuis quelques temps déjà mon coeur était devenu aride,
Comme ces grands déserts africains,
Balayé par l'indifférence et la solitude,
D'une vie sans entrain...
Par un heureux hasard, tu es arrivé,
Et dès ce moment là, tout a changé,
Ta douceur et ta générosité d'âme,
Ont réveillé mon coeur de femme...
Tu as fais tomber ces barrières,
Faites de douleurs et de peurs,
Balayé ces heures amères,
Effacé de mon visage mes pleurs...
c'est tellement beau que parfois,
j'ai l'impression que tu es irréel,
Mais kan j'admire ton doux minois,
Alors je sais que tu es mon amour éternel...
A toi mon amour...mon adoré,
Je te dédie ce poême,
Pour l'homme à qui je voudrai crier,
ces trois mots universels....je t'aime
Comme ces grands déserts africains,
Balayé par l'indifférence et la solitude,
D'une vie sans entrain...
Par un heureux hasard, tu es arrivé,
Et dès ce moment là, tout a changé,
Ta douceur et ta générosité d'âme,
Ont réveillé mon coeur de femme...
Tu as fais tomber ces barrières,
Faites de douleurs et de peurs,
Balayé ces heures amères,
Effacé de mon visage mes pleurs...
c'est tellement beau que parfois,
j'ai l'impression que tu es irréel,
Mais kan j'admire ton doux minois,
Alors je sais que tu es mon amour éternel...
A toi mon amour...mon adoré,
Je te dédie ce poême,
Pour l'homme à qui je voudrai crier,
ces trois mots universels....je t'aime
Commentaires textes : Écrire
requiem pour un ange...
Ce soir je suis là devant mon écran et je pense à toi,
Non pas que je sois triste ou en plein désarroi,
Mais parfois j'ai besoin de me rappeller
Peut être pour ne pas oublier...
Oublier quoi d'ailleurs?
Qu'en ce doux matin de juin tu t'en es allée
Vers une dimension que je te souhaite meilleure,
Là où la douleur et le mal ne pourront te toucher...
A jamais trop tôt tu m'as été enlevé,
Y a tellement de choses que j'aurai voulu te montrer,
Tant d'amour que j'avais à te donner,
Et qui aujourd'hui, dans mon coeur, est emprisonné...
Toi mon ange, ma chair, mon sang,
De te serrer on ne m'a pas laissé le temps,
c'est peut être mieux ainsi,
Car j'aurai surement sombrer dans la folie...
Jamais je ne verrai ton sourire,
Ni la couleur de tes yeux,
Je n'aurai jamais de souvenirs,
Ceux que j'aurai voulu nous fabriquer à deux...
Ce soir il ne reste que l'absence,
Qui, si souvent , etreins mon coeur,
Petite fille sans vie tu m'as laissé,
Avec la peine et le chagrin comme alliée...
Reposes toi mon coeur,
Tu l'as bien mérité,
Près du père protecteur,
J'espère un jour te retrouver...
A mon ange trop tôt disparu...pour qu'elle sache que je l'aimerai toujours...ici..la haut...où quelle soit...
Non pas que je sois triste ou en plein désarroi,
Mais parfois j'ai besoin de me rappeller
Peut être pour ne pas oublier...
Oublier quoi d'ailleurs?
Qu'en ce doux matin de juin tu t'en es allée
Vers une dimension que je te souhaite meilleure,
Là où la douleur et le mal ne pourront te toucher...
A jamais trop tôt tu m'as été enlevé,
Y a tellement de choses que j'aurai voulu te montrer,
Tant d'amour que j'avais à te donner,
Et qui aujourd'hui, dans mon coeur, est emprisonné...
Toi mon ange, ma chair, mon sang,
De te serrer on ne m'a pas laissé le temps,
c'est peut être mieux ainsi,
Car j'aurai surement sombrer dans la folie...
Jamais je ne verrai ton sourire,
Ni la couleur de tes yeux,
Je n'aurai jamais de souvenirs,
Ceux que j'aurai voulu nous fabriquer à deux...
Ce soir il ne reste que l'absence,
Qui, si souvent , etreins mon coeur,
Petite fille sans vie tu m'as laissé,
Avec la peine et le chagrin comme alliée...
Reposes toi mon coeur,
Tu l'as bien mérité,
Près du père protecteur,
J'espère un jour te retrouver...
A mon ange trop tôt disparu...pour qu'elle sache que je l'aimerai toujours...ici..la haut...où quelle soit...
- Commentaires textes : Écrire
regarder devant...
Je regarde ma vie se consumer lentement
Comme la cire de cette bougie en fondant,
Les années passent inéxorablement
Et j'ai du mal à regarder devant...
On me dit d'avancer,
On me dit d'oublier,
Et croyez moi j'essaye vraiment,
Mais je me sens si fragile interieurement...
Mon passé me rattrape
Et mes souffrances me happent,
Parfois j'aimerai tout arreter,
Pour enfin pouvoir respirer...
Non je n'ai pas le droit de faire ca,
Pas le droit de baisser les bras,
Il me faut continuer,
Pas après pas sans me décourager...
Qui viendra soulager mon coeur ?
Et enfin lui réapprendre le bonheur,
Serrer mes doigts dans sa main,
Et regarder avec moi vers demain...
J'en rêve et en même temps
Il me fait peur,
Il lui faudra de la patience et du courage,
Pour enfin me sortir de cette cage...
Comme la cire de cette bougie en fondant,
Les années passent inéxorablement
Et j'ai du mal à regarder devant...
On me dit d'avancer,
On me dit d'oublier,
Et croyez moi j'essaye vraiment,
Mais je me sens si fragile interieurement...
Mon passé me rattrape
Et mes souffrances me happent,
Parfois j'aimerai tout arreter,
Pour enfin pouvoir respirer...
Non je n'ai pas le droit de faire ca,
Pas le droit de baisser les bras,
Il me faut continuer,
Pas après pas sans me décourager...
Qui viendra soulager mon coeur ?
Et enfin lui réapprendre le bonheur,
Serrer mes doigts dans sa main,
Et regarder avec moi vers demain...
J'en rêve et en même temps
Il me fait peur,
Il lui faudra de la patience et du courage,
Pour enfin me sortir de cette cage...
- Commentaires textes : Écrire
Maltraitance...
Regardes bien cette image !
Non ne détournes pas les yeux,
Allez prends courage,
Même si tu trouves ca affreux....
Des enfants dans cet état,
Il y en a tous les jours,
qui tombent et meurent dans l'anonymat,
Sans même un appel au secours...
Comment peut on être si cruel.
Pour frapper un petit être sans défense
Il faut être à la limite du démentiel,
Pour se livrer à la maltraitance...
Espèce de fou dangereux,
Viens t'en prendre à moi si tu l'oses,
Je préfère ca que de voir dans ton regard haineux,
Ce petit cerceuil recouvert de roses...
Non ne détournes pas les yeux,
Allez prends courage,
Même si tu trouves ca affreux....
Des enfants dans cet état,
Il y en a tous les jours,
qui tombent et meurent dans l'anonymat,
Sans même un appel au secours...
Comment peut on être si cruel.
Pour frapper un petit être sans défense
Il faut être à la limite du démentiel,
Pour se livrer à la maltraitance...
Espèce de fou dangereux,
Viens t'en prendre à moi si tu l'oses,
Je préfère ca que de voir dans ton regard haineux,
Ce petit cerceuil recouvert de roses...
- Commentaires textes : Écrire
La rue...
Comment en arrive t'on là?
Il suffit parfois d'un faux pas,
D'un évènement facheux,
Pour devenir un triste gueux...
Vous perdez votre boulot,
Alors on vous regarde de haut.
Vous perdez votre femme,vos enfants,
Voila maintenant vous êtes un perdant...
On vous vole votre dignité,
Vous devenez le rebut de la société,
Pour vivre il vous faut mendier
Car pour se nourrir il faut payer....
Si je me permets d'en parler,
C'est parce que moi aussi,la rue m'a hebergé,
Je connais ses pièges et ses doutes.
Les foyers d'acceuil d'urgence et la saleté qui dégoute...
Moi j'ai eu de la chance, je m'en suis sortie,
Mais ca, c'est de l'instinct de survie,
Beaucoup d'autres sont toujours sur le pavé,
Courage mes frères, un jour j'espère, vous en sortirez...
Hommage à tous les SDF qui meurent chaque année sur le bitume froid de nos villes, sans amour, sans chaleur, personne pour les réconforter, juste le droit de crever en silence, bien cacher pour ne pas déranger...
Il suffit parfois d'un faux pas,
D'un évènement facheux,
Pour devenir un triste gueux...
Vous perdez votre boulot,
Alors on vous regarde de haut.
Vous perdez votre femme,vos enfants,
Voila maintenant vous êtes un perdant...
On vous vole votre dignité,
Vous devenez le rebut de la société,
Pour vivre il vous faut mendier
Car pour se nourrir il faut payer....
Si je me permets d'en parler,
C'est parce que moi aussi,la rue m'a hebergé,
Je connais ses pièges et ses doutes.
Les foyers d'acceuil d'urgence et la saleté qui dégoute...
Moi j'ai eu de la chance, je m'en suis sortie,
Mais ca, c'est de l'instinct de survie,
Beaucoup d'autres sont toujours sur le pavé,
Courage mes frères, un jour j'espère, vous en sortirez...
Hommage à tous les SDF qui meurent chaque année sur le bitume froid de nos villes, sans amour, sans chaleur, personne pour les réconforter, juste le droit de crever en silence, bien cacher pour ne pas déranger...
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